Deux facteurs aux allures rétros parcourent les rues à vélo. Semblant sortir tout droit d’un film de Jacques Tati, ils déambulent et livrent, déclament, chantent ou chu-chotent des poèmes.
Ils invitent les passant·e·s à leur rencontre pour écrire, imaginer, inventer une poésie instantanée. Le temps d’un courrier poétique livré à un·e inconnu·e, ces deux person-nages créent une correspondance entre les gens.
Comme un instant suspendu qui permettra de prendre le temps. Celui de la poésie.